Archive - septembre 2015
MACULA MATRIS
Hors saison
En bref...
TEMPLE ALLEMAND - 19h00
composition Thomas K.J. Mejer
intrerprétation Ensemble Phoenix Basel
direction Jürg Henneberger
chorégraphie Angelika Aechter
installation vidéo Stefan Bischoff
coordination comédien-ne-s Ernst Süss
chorégraphie Angelika Aechter
installation vidéo Stefan Bischoff
coordination comédien-ne-s Ernst Süss
L’œuvre scénique MACULA MATRIS (1995/96) du compositeur lucernois Thomas K.J. Mejer est un théâtre de l’intellect, du corps et de l’émotion. Le conscient et l’inconscient transparaissent dans l’érotisme. La langue, le mouvement et la musique convergent en un jeu entre Psyche et Eros.
MACULA MATRIS est l’œuvre majeure du compositeur et saxophoniste lucernois Thomas K.J. Mejer (*1961). Il s’agit d’une composition de près d’une heure et quart pour sept récitants, sept musiciens et sept danseurs.
MACULA MATRIS est un jeu de l’esprit, du corps et de l’âme, de la cause et de l’effet, de l’expression et de l’analyse, ou la tentative de contraindre le monde de l’Eros dans une forme.
Sept récitants déclament simultanément sept textes différents.
Sept danseurs exécutent sept chorégraphies différentes.
Sept musiciens réalisent une partition de musique de chambre sur sept instruments.
Chacune de ces trois couches apparaît autonome en soi. D’autre part, chaque récitant est mis en relation avec exactement un/e danseur/se et un/e instrumentiste. Ainsi, sept trios se forment, qui représentent chacun une personnalité unique en trois facettes.
MACULA MATRIS est l’œuvre majeure du compositeur et saxophoniste lucernois Thomas K.J. Mejer (*1961). Il s’agit d’une composition de près d’une heure et quart pour sept récitants, sept musiciens et sept danseurs.
MACULA MATRIS est un jeu de l’esprit, du corps et de l’âme, de la cause et de l’effet, de l’expression et de l’analyse, ou la tentative de contraindre le monde de l’Eros dans une forme.
Sept récitants déclament simultanément sept textes différents.
Sept danseurs exécutent sept chorégraphies différentes.
Sept musiciens réalisent une partition de musique de chambre sur sept instruments.
Chacune de ces trois couches apparaît autonome en soi. D’autre part, chaque récitant est mis en relation avec exactement un/e danseur/se et un/e instrumentiste. Ainsi, sept trios se forment, qui représentent chacun une personnalité unique en trois facettes.