Archive - décembre 2022
UTAMA
fiction
En bref...
En Bolivie, sur les terres arides de l’Altiplano, Sisa et Virginio, un couple de Quechuas âgé·es, vivent le même quotidien depuis des années. Tandis que la sécheresse s’aggrave, Virginio tombe malade et, conscient de sa mort imminente, affronte ses derniers jours en cachant sa souffrance à sa femme. Le retour de Clever, leur petit-fils, change la donne. Tous les trois vont faire face chacun à leur façon au manque d’eau, à l’inéluctable et aux bouleversements de la vie.
Bande-annonce...
Mais encore...
âge légal et conseillé 16 ans
Au coeur de la cordillère des Andes, ielles vivent bien loin des soi-disant progrès de ce que l’on appelle la civilisation. Leur vie rude et simple est étroitement liée à leur environnement si proche du ciel. Sur l’Altiplano, au coeur de la cordillère des Andes, la nature et les paysages sont non seulement d’une beauté envoûtante, mais aussi arides. Chaque parcelle de terre compte et est entretenue. Aussi faible soit leur empreinte écologique, les autochtones de l’Altiplan sont pourtant touchés par le manque de responsabilité globale : les sécheresses se multiplient, les cycles naturels sont menacés.
Avec l’aide de son excellente directrice de la photographie argentine Bárbara Álvarez, le Bolivien Alejandro Loayza Grisi nous raconte la disparition d’un espace vital et une existence faite de privations, où il n’y a plus la possibilité de renoncer à quoi que ce soit.
Au coeur de la cordillère des Andes, ielles vivent bien loin des soi-disant progrès de ce que l’on appelle la civilisation. Leur vie rude et simple est étroitement liée à leur environnement si proche du ciel. Sur l’Altiplano, au coeur de la cordillère des Andes, la nature et les paysages sont non seulement d’une beauté envoûtante, mais aussi arides. Chaque parcelle de terre compte et est entretenue. Aussi faible soit leur empreinte écologique, les autochtones de l’Altiplan sont pourtant touchés par le manque de responsabilité globale : les sécheresses se multiplient, les cycles naturels sont menacés.
Avec l’aide de son excellente directrice de la photographie argentine Bárbara Álvarez, le Bolivien Alejandro Loayza Grisi nous raconte la disparition d’un espace vital et une existence faite de privations, où il n’y a plus la possibilité de renoncer à quoi que ce soit.
