Archive - mars 2024
LA PLACE DES CHOSES
Collaboration Musée d'histoire - En présence
documentaire
En bref...
Pour notre nouvelle collaboration avec le Musée d'histoire de la Chaux-de-Fonds, nous vous proposons un film qui questionne l’attachement que nous portons aux choses, à la mémoire et au passé.En complément...
En présence du réalisateur !
Bande-annonce...
Mais encore...
âge légal et conseillé 12 ans
Au milieu des années soixante, dans la ville belge de Verviers, la grande partie des usines textiles ferment leurs portes. Assistant à la fin d’une époque, les autorités politiques décident de rassembler d’anciennes machines au sein d’une collection aujourd’hui stockée dans un ancien hangar industriel où vient travailler un groupe d’hommes à l’âge de la retraite. Pendant cinq ans, Baptiste Aubert a filmé ces hommes avec l’attention d’un ethnologue : il a observé leurs gestes, il les a regardé revenir semaines après semaines s’atteler aux mêmes tâches. Intervenant parfois, il a essayé de comprendre pourquoi ils passaient leur temps devenu libre à essayer de faire tourner des machines sur lesquelles ils avaient trimé toute leur vie.
Puis, imitant leur passion, il a lui aussi commencé à collecter d’anciens objets industriels. En achetant d’anciennes navettes de métiers à tisser dans les brocantes de la ville, il a cherché à enregistrer les souvenirs des habitants et questionner la mémoire collective de la ville.
Au milieu des années soixante, dans la ville belge de Verviers, la grande partie des usines textiles ferment leurs portes. Assistant à la fin d’une époque, les autorités politiques décident de rassembler d’anciennes machines au sein d’une collection aujourd’hui stockée dans un ancien hangar industriel où vient travailler un groupe d’hommes à l’âge de la retraite. Pendant cinq ans, Baptiste Aubert a filmé ces hommes avec l’attention d’un ethnologue : il a observé leurs gestes, il les a regardé revenir semaines après semaines s’atteler aux mêmes tâches. Intervenant parfois, il a essayé de comprendre pourquoi ils passaient leur temps devenu libre à essayer de faire tourner des machines sur lesquelles ils avaient trimé toute leur vie.
Puis, imitant leur passion, il a lui aussi commencé à collecter d’anciens objets industriels. En achetant d’anciennes navettes de métiers à tisser dans les brocantes de la ville, il a cherché à enregistrer les souvenirs des habitants et questionner la mémoire collective de la ville.