Archive - février 2017
NUIT DE LA PHOTO I
6ème édition
projections photographiques
En bref...
Projection d’une trentaine d’œuvres en divers lieux de La Chaux-de-Fonds : Club 44, MIH, MBA, Musée d’histoire, Parc des musées, ESTER et bien sûr, ABC et Temple Allemand
Mais encore...
photographies Edward Burtynsk, Paolo Woods, Andres Serrano, Christian Lutz
Edward Burtynsky (Canada, 1955) WATER, 2013
S’intéressant de longue date à l’impact des activités humaines sur l’environnement, Burtynsky enquête ici sur le thème de l’eau et sur le rapport ambivalent que nous entretenons avec elle : source de vie quand elle est domestiquée, source de danger quand elle se déchaîne ou qu’elle est gaspillée.
Paolo Woods (Pays-Bas, 1970) PÈPÈ, 2013
« Pèpè » est à Haïti le nom donné à des t-shirts frappés de slogans américains ridicules, qui symbolisent toute l’absurdité du marché mondial du textile. Fabriqués à bas prix sur l’île, vendus aux États-Unis, ils reviennent par le biais d’œuvres caritatives sur leur lieu d’origine où ils finissent leur vie sur les épaules d’Haïtiens désargentés.
Andres Serrano (États-Unis, 1950) DENIZENS OF BRUSSELS, 2015
Le photographe américain, rendu célèbre par des œuvres souvent provocatrices, pose ici son objectif sur les sans-abris de la capitale belge. Ses portraits se veulent une véritable rencontre avec ceux sur lesquels le regard habituellement glisse.
Christian Lutz (Suisse, 1973) INSERT COINS, 2011-2014
Arpentant Las Vegas, le photographe genevois met à nu les contradictions du modèle américain qui promet fortune et extase à chaque coin de rue tout en livrant à la misère une catégorie de laissés-pour-compte en perpétuel renouvellement.
S’intéressant de longue date à l’impact des activités humaines sur l’environnement, Burtynsky enquête ici sur le thème de l’eau et sur le rapport ambivalent que nous entretenons avec elle : source de vie quand elle est domestiquée, source de danger quand elle se déchaîne ou qu’elle est gaspillée.
Paolo Woods (Pays-Bas, 1970) PÈPÈ, 2013
« Pèpè » est à Haïti le nom donné à des t-shirts frappés de slogans américains ridicules, qui symbolisent toute l’absurdité du marché mondial du textile. Fabriqués à bas prix sur l’île, vendus aux États-Unis, ils reviennent par le biais d’œuvres caritatives sur leur lieu d’origine où ils finissent leur vie sur les épaules d’Haïtiens désargentés.
Andres Serrano (États-Unis, 1950) DENIZENS OF BRUSSELS, 2015
Le photographe américain, rendu célèbre par des œuvres souvent provocatrices, pose ici son objectif sur les sans-abris de la capitale belge. Ses portraits se veulent une véritable rencontre avec ceux sur lesquels le regard habituellement glisse.
Christian Lutz (Suisse, 1973) INSERT COINS, 2011-2014
Arpentant Las Vegas, le photographe genevois met à nu les contradictions du modèle américain qui promet fortune et extase à chaque coin de rue tout en livrant à la misère une catégorie de laissés-pour-compte en perpétuel renouvellement.
